21juin

Semaine de la qualité au travail
QVT - 2019




Dans le cadre de la semaine de la qualité au travail, DRH et dirigeants échangent et partagent des outils indispensables à l'exécution de leur mission.

Pour mesurer les conditions de travail dans l'entreprise et en faire un bilan, il est pertinent de collecter l'opinion relative à des questions de bien-être ou de santé de l'individu dans son environnement de travail. L'outil le plus fréquemment utilisé est le questionnaire en ligne.

Quelles sont les conditions nécessaires pour mettre en place un questionnaire en ligne sur ces questions sensibles ?

Bien que cette démarche se veuille à la fois consultative, collaborative et participative sur des sujets considérés par le salarié comme sensibles, l'anonymat du salarié doit cependant être strictement garanti.

Les chiffres le prouvent : quand il s'agit de s'exprimer, le facteur confiance est clé. La facilité et la rapidité viennent en second.

Concernant ce type de consultation, l'anonymat doit absolument être respecté !

Pourquoi ? Afin de répondre efficacement à cette question, il suffit tout simplement de se mettre à la place de l'employé qui, en cas de doute sur le traitement relatif au caractère anonyme de ses réponses, serait potentiellement amené à réduire sa liberté de parole.

L'intention première d'une société lançant une consultation afin de recueillir des opinions franches des parties prenantes, ne serait alors que partiellement atteint.

La garantie d'anonymat doit reposer sur la mise en place d'un processus dont l'organisation et les moyens mis en œuvre, qu'ils soient technologiques et/ou organisationnels assurent une disruption au sens de « cassure » entre l'identité du salarié et l'expression de son opinion.

Des solutions « disruptives » existent et permettent la séparation stricte entre les données personnelles (hébergés chez des tiers de confiance assermentés) et les expressions des répondants. D'autres solutions garantissent l'anonymat strict du répondant grâce à l'utilisation de jetons anonymes à usage unique.

Ces solutions permettent d'assurer aux parties prenantes que la technologie et le processus mis en place satisfont aux mêmes exigences en matière d'anonymat que pour l'organisation d'une élection en ligne.

Enfin, sachant que le prestataire collectant les réponses ne détient jamais les données personnelles des participants, ces solutions facilitent les procédures déclaratives relatives au RGPD.

#civictech, #qvt

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